Mes fils sont des père-dents... Parce que leur père n'est pas présent dans leur vie ou plutôt parce qu'il n'est pas présent comme il le devrait. Les psy de tout acabit ont beau nous rabâcher les oreilles de l'importance du père dans la vie, je n'en démord pas: oui mais pas à n'importe quel prix. Et oui, un jour j'ai aimé le père de Grand Malin et Petit Coquin et j'ai même souhaité fonder une famille avec lui, mais doit-on accepter l'inacceptable simplement parce le père doit demeurer ce héros si important à l'équilibre psychique? NON!NON!NON!
Au Québec on n'a pas le droit de maltraiter les animaux, c'est bien et c'est vrai. Mais un parent peut malmener ses enfants et parce qu'il est parent et qu'il a des droits on passe l'éponge au nom du bien de l'enfant! Une petite visite devant le juge, une petite tape sur les doigts, un programme de gestion de la violence, deux ou trois petites rencontres avec un intervenant de la DPJ et miracle au bout d'un an te voilà guérit! Et le cirque recommencera quelques mois plus tard mais comme on se doit de préserver ce lien si important on se dira que plus ça change plus c'est pareil!
Alors à moins que votre enfant soit couvert de contusions, ait un bras cassé ou encore mieux si tout cela c'est passé devant témoin, avec photos à l'appuie, authentifiées préalablement par un médecin ou un policier vos chances d'obtenir justice contre l'autre parent sont extrêmement minces. Je suis certaine qu'à chaque fois où vous entendez parler d'un parent qui assassine son ou ses enfants, vous ressentez un profond malaise, de la tristesse et de la colère même. Moi toutes ces fois, égoïstement peut-être, je me dis que cela pourrait être mes enfants. Père manquant, fils manqué sans doutes mais Père violent, enfance blessé... Qu'on se le dise, la violence qu'elle soit conjugale ou familiale est innaceptable à quand des lois plus sévères?
it le hamster de Petit Coquin, une petite boule de poils adorable et venant de ma part, grande phobique de tout ce qui ressemble de prêt ou de loin à une souris, c'est tout un compliment. Il y a cinq ans lors de ma séparation, je ne pouvais malheureusement pas emmener avec nous le chien de Grand Malin. Donc afin de faire passer un peu la pilule j'avais promis à mes fistons de leur offrir un petit animal. Les poissons, nous en avions fait l'expérience, meurent facilement. Les oiseaux sont souvent plus dispendieux, ils demandent davantage de soins et ça ne sent pas toujours très bon. À mon grand désespoir, nous nous sommes tournés vers les hamsters. J'ai dû apprendre à surmonter mon aversion et aider les enfants à les nourrir et à nettoyer leur cage. Étonnamment, une fois mes craintes envolées, je me suis mise à m'attacher moi aussi et à connaître le chagrin de les voir partir. L'amour d'une mère des fois ça nous fait surmonter nos peurs dans le but d'offrir à nos enfants la réalisation d'un rêve. Voyez-vous Bouboule, de son véritable nom Bouboule du deuxième nom ainsi nommé en l'honneur de son prédécesseur partageait notre quotidien depuis près de trois ans. Petit Coquin en prenait grand soin et tout dernièrement il allait même jusqu'à lui appliquer des compresses sur les yeux afin de le soulager de ce qui nous semblait une conjonctivite de fin de vie. bouboule était plein de finesses allant juste qu'à se blottir contre nous et de s'endormir paisiblement. Lors de nos dernières vacances d'été, nous avons eu peur de le perdre car il avait cessé de mangé, mais au retour de son petit maître il a repris vie allant mêmme jusqu'à faire quelques petits tours dans sa grande roue.
J'ai eu l'idée de ce billet hier matin en me trouvant à bord d'un autobus de la Société de Transport de l'Outaouais (STO) et ce tout juste avant d'apprendre que le conflit entre la ville d'Ottawa et sa société de transport avait été réglé. 
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